Qui suis-je ?
Le hasard n’existe pas et si vous êtes là, à cet instant, c’est qu’il y a une bonne raison…
Je m’appelle Anne mais AELA est le nom que je me suis choisie (ou qui m’a choisie…).
AELA signifie « Ange » en breton et vient du grec Eggelos qui signifie « Messagère ».
Je suis originaire du littoral nord du Finistère, là où la mer se pare d’écumes et où les clochers pointent vers les nues un doigt accusateur habillé de dentelle de pierre.
J’ai gardé de cette côte des légendes le goût des histoires, aussi je découvre les vôtres avec toujours autant de passion, et une ténacité farouche que je mets au service de la résolution de vos difficultés, quelles qu’en soient les origines.
Mon parcours de vie n’a pas été très linéaire, parsemée d’épisodes douloureux qui laissaient un goût d’amertume toujours un peu plus prononcé au fond de la gorge.
En effet, Bretonne ascendant granit, j’ai eu parfois du mal à me remettre en question dans ma vie tant professionnelle que personnelle… La vie me mettait donc parfois (souvent) à l’épreuve afin que j’évolue.
Des épreuves de plus en plus fortes jusqu’à ce que j’accepte de regarder les réalités en face, de changer mon approche de la vie, que j’abandonne mes croyances limitantes, et que je cesse de m’enfermer moi-même dans un carcan d’idées et d’idéaux qui ne l’étaient que pour moi.
J’ai posé mes valises à la lisière de Vannes il y a quelques années, dans un cadre préservé à un jet de menhir du tumulte de la ville, lors de ma « mue » personnelle.
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J’ai alors entamé un travail profond de guérison qui m’a entraîné sur des chemins de traverse, ceux où l’on perçoit encore le chant des oiseaux et l’odeur des pins, ceux où l’on s’égratigne aux ronces sans même y prendre garde, encouragée par l’envie de s’enfoncer encore plus et plus encore à chaque découverte d’un trésor déposé là par la Nature à notre intention.
Au hasard de rencontres de vie j’ai cheminé, accumulant les outils de développement personnel, à la recherche de réponses à mes questions, à la recherche de mon Moi intérieur.
Ma boîte à outil s’est donc gonflée progressivement, nourrie par la cartomancie qui ne cesse de m’émerveiller et que je pratique en duo avec mon compagnon, cartomancie que j’ai apprivoisée auprès d’une voyante qui maîtrisait cet art à la perfection et en tenait les enseignements de sa mère, et de sa grand-mère avant elle.
L’hypnose thérapeutique est ensuite venue à moi, et j’ai pu en découvrir les différentes facettes au travers de formations certifiantes car cela me semblait important pour vous accompagner et vous aider à surmonter les moments difficiles de votre vie, mais aussi les diverses addictions, les phobies, angoisses, le manque de confiance ou d’estime de soi, bref tous ces maux qui nous empoisonnent la vie.
L’hypnose régressive in utero et dans les vies antérieures a été la pierre angulaire de mon cursus, elle qui m’appelait depuis longtemps sans que j’ose franchir le pas, toujours bridée par une éducation religieuse rigoureuse et un esprit très (trop…) cartésien.
C’est donc tout à la fin de mon parcours de praticien en hypnose thérapeutique que j’ai placé cette formation, partagée entre curiosité et appréhension.
Le choc fut rude mais salutaire et les messages reçus de mes guides à cette occasion sans équivoque.
Ils m’ont permis de cheminer encore sur le chemin du pardon et de la sérénité afin de pouvoir transmettre ces valeurs aux autres, ceux qui étaient sur le même chemin, VOUS peut-être…
C’est donc avec humilité et respect, mais en toute bienveillance que je me propose de vous accompagner pour un petit bout de chemin, sur le chemin de la Vie, afin que vous puissiez en surmonter les blessures et en comprendre le sens pour en savourer le meilleur, en pleine conscience.